Les 8 et 9 décembre 2011, une conférence sur les politiques budgétaire et monétaire à la suite de la crise financière a été organisée à Paris par la Banque de France en collaboration avec la Paris School of Economics, le Euro Area Business Cycle Network et The Economic Journal. Elle a...

Les économistes sont nombreux à mettre en doute l’utilité des statistiques d’investissements directs pour l’analyse macroéconomique. Une nouvelle norme internationale, fondée sur un retraitement des opérations de prêts intra-groupe, devrait prochainement entrer en vigueur et fournir...

Une présentation détaillée des statistiques traditionnelles sur les flux d’investissements directs de la France, entrants et sortants, en 2008.

Depuis 2009, l’estimation des stocks d’investissements directs étrangers en valeur de marché est fondée sur une nouvelle méthode. Sa mise en oeuvre a conduit à une révision substantielle de la position extérieure nette de la France en investissements directs, qui reste néanmoins...

La crise financière a durablement transformé l’environnement économique mondial et stimulé de nombreuses études sur ses causes et ses canaux de transmission, qui ont été présentées lors d’une conférence organisée par la Banque de France, PSE et le FMI.

Après deux années consécutives de baisse, la part du capital des sociétés françaises du CAC 40 détenue par les non-résidents s’est inscrite en hausse en 2009 à 42,3 %, après 40,2 % en 2008, revenant à un niveau proche de celui de 2002 (42,5%).

L’approche par les groupes de sociétés permet d’établir une répartition géographique du stock d’investissement direct plus conforme à l’intuition que la présentation habituelle en « premier rang ».

Le solde des transactions courantes s’est fortement dégradé pour atteindre – 1,6 % du PIB. Les investissements directs ont enregistré un rebond significatif.

Dans les dernières décennies, l’Allemagne a fortement augmenté ses approvisionnements en bien intermédiaires dans des pays à bas coûts. Les autres grands pays européens, et notamment la France, ont moins tiré profit des gains de compétitivité associés à l’externalisation à...

À fin 2008, le taux de détention de la capitalisation des sociétés françaises du CAC 40 par les non-résidents recule pour la deuxième année consécutive pour s’établir à 39,2 %, marquant une baisse de deux points par rapport à la fin de l’année 2007.