French Abstract: Nous introduisons un modèle stratégique de négociations à deux joueurs avec des preferences dans le risque de type utilité non-espérée. Nous définissons la notion de prime de risque de désaccord, un analogue séquentiel du concept d'audace, afin de prendre en compte le...

We study the impact of induced positive or negative emotions on economic decisions in a negotiation context. Decision was assessed with a well studied social task, the Ultimatum game. In this task, subjects had to make decisions to either accept or reject fair or unfair offers from other...

Nous considérons la vente aux enchères sous pli scellé au second prix d'un objet que chaque acquéreur potentiel évalue de manière « privée et indépendante ». Nous montrons que l'optimum ex ante d'un cartel, sous contraintes d'incitation et d'équilibre ex post des transferts, coïncide...

Allocations familiales et autres transferts cibles sont generalement verses aux meres, sur la base de l`observation qu`augmenter la part des ressources controlees par les meres conduit a ameliorer le bien-etre des enfants. Nous recensons un ensemble de resultats empiriques qui etablisent le...

A theory of incomplete preferences under uncertainty is proposed, according to which a decision maker's preferences are indeterminate if and only if her confidence in the relevant beliefs does not match up to the stakes involved in the decision. We use the model of confidence in beliefs...

Les ménages français ont modifié la structure de leurs portefeuilles au cours des quinze dernières années au profit des contrats d’assurance-vie. Ils investissent une part croissante de leur épargne à l’étranger, via les intermédiaires financiers.

À la fin 2010, les résidents français détenaient 5 440 milliards d’euros de titres, soit un encours en légère baisse depuis la fin 2007. De 2007 à 2010, les ménages ont été globalement vendeurs de titres, tandis que les sociétés d’assurance achetaient principalement des valeurs...

Après prise en compte des opérations d’intermédiation, le patrimoine financier des ménages apparaît plus fortement investi en titres de dette publique et davantage diversifié au plan géographique que dans sa structure initiale.