The Purchasing-Power-Parity Theory of Exchange Rates: A Review Article (Théorie de la parité des pouvoirs d'achat des taux de change: une étude) (La teoría de los tipos de cambio basados en la paridad del poder adquisitivo: Artículo de repaso)
The purchasing-power-parity (PPP) theory involves the ratio of two countries' price levels (absolute PPP) or price indices times a base period exchange rate (relative PPP) as the most important variable determining the exchange rate, but it allows both for other explanatory variables and for random influences. Such was the methodology of Cassel, who was the first economist to make PPP an operational theory. Other writers have suggested the use of factor costs in place of prices. The basic rationale for PPP theory is that the value of a currency is determined fundamentally by the amount of goods and services that a unit of the currency can buy in the country of issue. Criticisms of PPP include the existence of tariffs and transport costs, the role of income in exchange rate determination, and the existence of non-current account items in the balance of payments. The direction of causality (prices to exchange rates) has also been called into question. The most damaging criticism is that the ratio of the price level of nontraded to that of traded commodities is not equal across countries, nor does it move uniformly in different countries over time. Most critics of PPP, however, do not reject the theory outright. They recognize the applicability of the theory under certain circumstances, such as moderate or large inflations. The principal empirical use of PPP is to measure the amount of disequilibrium of an exchange rate. Several kinds of tests of the PPP theory have appeared in the empirical literature. One test demonstrates that the ratio of PPP to the exchange rate is systematically related to differences in per capita income across countries. Other tests correlate time series of PPP and the exchange rate or perform a comparative-static comparison of the two variables over time. More sophisticated tests involve the specification of a lagged relationship between PPP and the exchange rate, and the inclusion of explanatory variables in addition to PPP in exchange rate determination. /// La théorie de la parité des pouvoirs d'achat (PPA) considère le rapport des prix entre deux pays (parité des pouvoirs d'achat en valeurs absolues) ou encore l'indice des prix multiplié par le taux de change d'une période de base (parité des pouvoirs d'achat en valeurs relatives) comme la variable la plus importante déterminant le taux de change, mais elle tient compte d'autres variables explicatives et influences aléatoires. Telle est la méthodologie de Cassel, premier économiste à avoir fait de la PPA une théorie opérationnelle. D'autres auteurs ont proposé d'utiliser les coûts des facteurs à la place des prix. Le principe de base de la PPA est que la valeur d'une monnaie est essentiellement déterminée par la quantité de biens et services qu'une unité monétaire peut acheter dans le pays d'émission. Les critiques adressées à la PPA se rapportent à l'existence des droits de douane et des coûts de transport, au rôle du revenu dans la détermination du taux de change et à l'existence de postes de la balance des paiements autres que ceux du compte courant. La relation de causalité prix-taux de change a également été contestée. La critique la plus percutante a trait au fait que le rapport entre les prix des biens échangés et de ceux ne faisant pas l'objet d'échanges n'est pas le même pour chaque pays et il n'évolue pas d'une manière uniforme dans le temps pour différents pays. Cependant, la plupart des critiques de la PPA ne rejettent pas totalement cette théorie. Ils admettent qu'elle est applicable dans certaines circonstances, notamment en période d'inflation modérée ou de forte inflation. La PPA sert essentiellement à mesurer d'une manière empirique l'ampleur du déséquilibre du taux de change. La théorie de la PPA a été soumise, dans des études empiriques, à diverses sortes de tests. L'un d'eux montre que le rapport PPA-taux de change est lié systématiquement aux différences de revenu par habitant entre les pays. D'autres tests établissent une corrélation entre les séries chronologiques de la PPA et le taux de change ou procèdent à une analyse de statique comparative des deux variables pour une certaine période. Certains tests plus élaborés comportent la formulation d'une relation décalée entre la PPA et le taux de change et l'inclusion de variables explicatives en plus de la PPA dans la détermination du taux de change. /// La teoría de la paridad del poder adquisitivo (PPA) supone o bien la razón entre los niveles de los precios de dos países (PPA absoluta) o los índices de los precios multiplicados por un tipo de cambio de un período base (PPA relativa) como la más importante variable entre las que determinan el tipo de cambio, pero deja margen tanto para otras variables explicativas como para influencias aleatorias. Esta era la metodología de Cassel, que fue el primer economista en hacer de la PPA una teoría funcional. Otros autores han sugerido el uso de los costos de los factores en lugar de los precios. El razonamiento que sirve de base a la teoría de la PPA es que el valor de una moneda queda determinado fundamentalmente por la cantidad de bienes y servicios que una unidad de moneda puede comprar en el país de emisión. Como críticas a la PPA se han señalado la existencia de aranceles y costos de transporte, la función que desempeña el ingreso en la determinación del tipo de cambio y la existencia de partidas no incluidas en la cuenta corriente de la balanza de pagos. También se ha puesto sobre el tapete el sentido en que opera la casualidad (de los precios a los tipos de cambio). La crítica más severa es que la razón entre el nivel de los precios de los bienes que no son objeto de comercio y el de los que lo son no es igual en todos los países, y que tampoco varía uniformemente en distintos países de un momento a otro. Sin embargo, la mayoría de los críticos de la PPA no rechazan completamente esta teoría. Reconocen la posibilidad de aplicarla en ciertas circunstancias, tales como las de una inflación moderada o intensa. El principal uso empírico que puede hacerse de la PPA es el de medir el grado de desequilibrio de un tipo de cambio. En la literatura empírica han aparecido varias clases de pruebas a que puede someterse la teoría de la PPA. Una prueba demuestra que la razón entre la PPA y el tipo de cambio está sistemáticamente relacionada con las diferencias entre países de los ingresos per cápita. En otras pruebas se correlacionan las series cronológicas de la PPA con el tipo de cambio o se hace una confrontación estático-comparativa de las dos variables en el transcurso del tiempo. Otras pruebas más perfeccionadas suponen la especificación de una relación desfasada entre la PPA y el tipo de cambio, y la inclusión de variables explicativas además de la PPA en la determinación del tipo de cambio.
Year of publication: |
1976
|
---|---|
Authors: | Officer, Lawrence H. |
Published in: |
IMF Staff Papers. - Palgrave Macmillan, ISSN 1020-7635. - Vol. 23.1976, 1, p. 1-60
|
Publisher: |
Palgrave Macmillan |
Saved in:
Online Resource
Saved in favorites
Similar items by person
-
Officer, Lawrence H., (1987)
-
Supply relationships in the Canadian economy : an industry comparison
Officer, Lawrence H., (1972)
-
Officer, Lawrence H., (1974)
- More ...