Unused Bank Overdrafts: Their Implications for Monetary Analysis and Policy (Découverts bancaires inutilisés: leurs implications pour l'analyse et la politique monétaires) (Sobregiros bancarios no utilizados: su trascendencia en cuanto al análisis y a la política monetarias)
L'auteur examine la nature, les causes et l'importance des découverts inutilisés des banques commerciales et leurs implications pour l'analyse et la politique monétaires, à la lumière des statistiques appropriées, lesquelles ne sont disponibles que pour l'Australie, la Nouvelle-Zélande, les Philippines, la Suède et la Norvège. D'une façon générale, l'analyse montre que les découverts non utilisés représentent en moyenne entre 30 et 44 pour cent de l'ensemble des découverts, sauf en Suède où ils sont de l'ordre de 14 pour cent; il n'existe pas de relation logique entre les mouvements des limites totales autorisées de ces avances et les coefficients des découverts non utilisés, sauf en Suède où ils ont tendance à évoluer dans la même direction; pour les pays à l'égard desquels on dispose de données suffisantes pour permettre d'analyser les composantes du changement (cas de la Suède et de la Nouvelle-Zélande), les variations des coefficients des découverts inutilisés sont fonction principalement de facteurs saisonniers; d'autre part, en Australie comme en Nouvelle-Zélande--les seuls pays qui publient des données sur la ventilation sectorielle des découverts non utilisés--le secteur urbain intervient pour une proportion plus élevée du total des découverts non utilisés que le secteur rural. L'analyse révèle aussi que la technique du découvert peut compliquer la mise en Å“uvre de la politique du crédit sans cependant en amoindrir réellement l'efficacité. Bien que l'inclusion des découverts inutilisés dans le concept de la masse monétaire ne semble pas améliorer sensiblement la valeur explicative des statistiques monétaires, telle que la vitesse de circulation de la monnaie, il serait néanmoins souhaitable, pour faciliter l'élaboration de la politique monétaire, d'avoir des données sur l'importance et la ventilation des découverts inutilisés. Utilisées dans les modèles monétaires, il est même possible que ces données puissent permettre d'établir des pronostics. Il est toutefois nécessaire d'examiner empiriquement de façon plus approfondie les différents aspects des découverts inutilisés. /// Este artículo examina la naturaleza, las causas y la magnitud de los sobregiros no utilizados en los bancos comerciales y la trascendencia de los mismos en cuanto al análisis y a la política monetarias, a la luz de los datos pertinentes, de los cuales se dispone sólo para Australia, Nueva Zelandia, Filipinas, Suecia y Noruega. En general, el análisis muestra que el monto promedio de los sobregiros no utilizados oscila entre el 30 y el 44 por ciento, excepto en Suecia, donde se aproxima al 14 por ciento. No existe una relación consistente entre los movimientos en los límites totales de sobregiro autorizado y los porcentajes de sobregiro no utilizados, salvo en el caso de Suecia, donde ambos tienden a variar en la misma dirección. En los países para los que se cuenta con datos adecuados para analizar los componentes de las diferencias (Suecia y Nueva Zelandia), las variaciones en la proporción no utilizada de sobregiros, son predominantemente debidas a factores de estacionalidad. Al sector urbano corresponde una proporción de los sobregiros no utilizados mayor que al sector rural, tanto en Australia como en Nueva Zelandia, que son los dos únicos países que publican datos sobre la distribución sectorial de los sobregiros no utilizados. El análisis también sugiere que la mecánica del sistema de sobregiros puede presentar complicaciones en la ejecución de la política crediticia, sin menoscabo, empero, de la eficacia de ésta. Aun cuando el incluir los sobregiros no utilizados dentro de la oferta de dinero no parece mejorar sustancialmente el valor explicativo de los parámetros estadísticos de tipo monetario, tales como la velocidad de circulación, a los efectos de política sería útil, no obstante, disponer de datos adecuados sobre la cuantía y la distribución de los sobregiros no utilizados, los que pueden incluso tener un cierto valor predictivo en modelos monetarios. Es menester, sin embargo, llevar a cabo investigaciones empíricas adicionales sobre los distintos aspectos de los sobregiros no utilizados.
Year of publication: |
1968
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Authors: | Chandavarkar, Anand G. |
Published in: |
IMF Staff Papers. - Palgrave Macmillan, ISSN 1020-7635. - Vol. 15.1968, 3, p. 491-530
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Publisher: |
Palgrave Macmillan |
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