In this study, we benchmarked the crisis resolution frameworks of the Member States of the West African Monetary Zone (WAMZ) with the Financial Stability Board's Key Attributes (KAs) of effective resolution regime for financial institutions, using survey-based methodology. Questionnaires,...

Les taux de défaut sont des séries couramment utilisées dans les simulations de crise. Au Canada comme dans beaucoup d'autres pays, on ne dispose pas de séries rétrospectives relatives aux taux de défaut sectoriels sur les prêts bancaires aux entreprises. La connaissance de ces taux est...

Default rates are series commonly used in stress testing. In Canada, as in many other countries, there are no historical series available for sectoral default rates on bank loans to firms. Knowledge of such data is required to assess the impact of shocks on the balance sheets of financial...

French Abstract: Le présent article s'intéresse à l'étude de l'impact de la réglementation prudentielle bancaire sur le risque de défaillance des banques de la zone Euro pendant la crise financière des subprimes. Deux indicateurs de mesures de risque de faillite sont utilisés, le Z-score...

French Abstract: Le risque de défaut est le grand oublié de l'évaluation des actions. Nous démontrons dans cet article que son effet sur la valeur est pourtant plus important pour une action que pour une obligation.Pour ce faire nous nous basons sur un modèle à fonction d'intensité de...

Pour une entreprise, le maintien d’une croissance soutenue pendant une longue période est délicat. Il suppose, outre des conditions de marché favorables, un pilotage du rythme de développement adapté aux contraintes financières.

S’il est encore trop tôt pour établir un bilan définitif des effets de la crise sur les entreprises, ceux-ci semblent avoir été plutôt bien maîtrisés grâce aux actions conjointes des différents agents économiques (entreprises, banques, autorités monétaires et pouvoirs publics).

En 2010, la reprise de l’activité permet aux PME d’améliorer leur rentabilité et de consolider leurs capitaux propres, même si de fortes disparités demeurent. Le renforcement de la trésorerie et la faiblesse de l’investissement demeurent caractéristiques d’un comportement attentiste.

Les entreprises en France bénéficient de la reprise de l’activité en 2010 et du redressement de leurs résultats. Mais cette amélioration ne comble pas le repli des deux exercices antérieurs et les disparités restent fortes.

Le crédit interentreprises est un des canaux de transmission du risque de défaillance des entreprises. Les impayés sur effets de commerce révèlent les interdépendances entre secteurs et leur potentiel de contagion, dès lors que les montants en jeu sont importants.